Weeknotes #22
30/05/2020
Ce qu’il s’est passé
Quelques évolutions en express sur le site de Kèpos, avant qu’ils soient mis sous les spotlight par une association nancéenne. Ca faisait longtemps que je n’avais pas touché à du jekyll, et ça ne m’a pas donné envie d’en refaire (écosystème moribond, plugins non maintenus…). Je me suis aussi rendue compte, un peu honteuse, que j’avais mal fini la configuration du back office, ce qui a amené la rédactrice à quelques tirages de cheveux. J’ai tâché de me rattraper sur la disponibilité et l’amélioration à la marge d’autres menues choses, mais la sensation d’avoir mal fait mon taf à un moment n’est pas agréable.
Une réunion avec Terre de Liens Bretagne en tant que groupe local, avec les vigiliantes. Pas encore hyper à l’aise avec tout ce qui me semble bien technique, mais ça devrait venir.
Un appel avec les Greniers d’Abondance pour préparer une éventuelle venue en septembre, dans le cadre de tout un panel d’événements autour de la résilience alimentaire. Les projets parallèles sur lesquels ça fait plaisir de bosser :)
Nouvelles visites d’artisans dans la future maison, nouveaux noeuds au cerveau pour gérer le budget travaux…
Les finitions, peut-être, des évolutions sur le site de la coopérative Oasis ? “Ya plus qu’à” finir de renseigner les nouveaux contenus et mettre en ligne :) Un travail bien agréable, et des échanges chouettes ! Ca me fait plaisir d’apprendre que pendant le confinement, ils ont reçu plus de dons. L’impression que de plus en plus de gens redirigent leur épargne vers des initiatives plus durables. Ca reste marginal, mais prenons le plaisir là où il est :)
Une réunion du bureau de mon AMAP, à laquelle j’étais conviée suite à la re-création de leur site web. On fait le bilan, et les retours sont globalement bons, tant sur le site que sur AmapJ, le logiciel de gestion d’Amap qu’ils viennent de mettre en place. Certains producteurs l’utilisent déjà dans d’autres AMAP, ce qui aide, même s’il manque possibilité de payer en ligne. On échange sur une inititive de drive, lancée pendant le confinement, où on retrouve en grande partie les mêmes producteurs. Est-ce que ça risque de faire concurrence à l’AMAP ? On fait le pari que non. On se dit qu’il y a de la place pour tous, mais que ça vaut le coup de mettre un coup d’accélérateur sur la com’ pour faire connaître mieux le modèle de l’AMAP.
La conjonction couches à laver + chaleur (= fortes odeurs) nous fait douter sur la poursuite des couches lavables.
Encore des visites de notre appart’ actuel, cette fois avec plein d’enfants en bas âge (j’aime bien). Je croise les doigts pour que quelqu’un ait enfin un coup de coeur et que ça s’arrête. Il est chouette, ce bout de longère, je comprends pas qu’il soit pas encore loué :(
Récupération d’un panier dans le fameux nouveau drive fermier, pour acheter de quoi faire le premier barbecue depuis tellement tellement longtemps. On mange peu de viande, mais le fait de connaître de + en + de producteurs de bonne viande bio n’accentue pas notre végétarianisme…
L’angoisse de la maquette blanche pour mes pôles ESS, et trop d’heures perdues à ne pas savoir par quel bout le prendre. Au final, j’ai peur d’être partie sur quelque chose de trop complexe pour leurs moyens (financiers et humains). Foutue folie des grandeurs et gourmandise pour les projets que j’aime bien…
Plein (tout est relatif hein, un ou deux messages par mois c’est énorme pour moi) de notifications de prise de contact via les formulaires de mes sites web. Des pairs à qui j’ai été recommandée, des personnes qui veulent discuter web éthique et écologique… En fait, je n’ai jamais eu autant l’impression d’être une vague “référence” dans le numérique éthique et responsable que depuis que j’ai envie de quitter le numérique.
Les appels du pieds à entrer dans le conseil d’administration du pôle ESS local. Envie mais peur d’en venir à négliger un peu tous mes engagements à force de dispersion…