Weeknotes #20 #21
24/05/2020
Ce qu’il s’est passé
- une vague suspicion de COVID dans le foyer, donc une brusque diminution de mon temps de travail (garde d’enfant à mi-temps)
- assisté à un webinaire Entrepreneurs d’Intérêt Général, un des projets m’intéresse potentiellement. Bien évidemment, je ne pense pas avoir les épaules pour, mais j’espère réussir à taire suffisamment le flip pour candidater quand même.
- les derniers ateliers avec mes pôles ESS sont passés ! Ce fut long, mais riche d’enseignement. Je découvre à quel point accompagner la refonte d’une structure au conseil d’administration hétérogène et dont l’unique salariée est en congé mat’ est un vrai faux plan. Ne “reste plus” que les premières maquettes à pondre, et les notes à formaliser…
- j’ai revu notre future maison, après plus de 2 mois, à la faveur d’une visite d’artisan. Marre de pas savoir quand on aura les clés, et ravie/flippée de voir à quel point les arbres qui ont été plantés pile sur des tuyaux d’évacuation ont poussé.
- un bon bout de matinée avec Sam de Kejal et Katia du pôle ESS du pays de Dinan. C’est chouette de voir des gens en vrai et de faire le tour avec eux de ce qu’il se passe sur le territoire
- Alors que j’avais l’impression que tout roulait dans les grandes lignes avec gatsby pour la coopérative Oasis, je me suis faite avoir par une mise en forme un peu plus élaborée qui m’a plombée. Et en +, je ne suis pas satisfaite du résultat. Damned.
- je me retrouve à installer des outils totalement inconnus au bataillon pour d’anciens clients en cessation d’activité, pour qu’ils puissent conserver plus sereinement leurs archives. Le nouveau projet de la fondatrice à l’air plus proche de la nature. Chouette !
- le premier apéro déconfiné avec mon gang d’activiste,
- ma première confrontation par mail avec une complotiste, membre du-dit gang d’activistes… Plein de questionnements, j’ai géré à minima, au mieux, pour pas non plus faire imploser le groupe que je ne connais pas encore si bien.
- un week-end en Centre Bretagne, pour se mettre au vert tout en fuyant les plages que nous supposions blindées. Et puis, la forêt vosgienne nous manque, alors on compense avec les forêts d’ici. On discute avec les locaux en faisant la queue, masquée, à l’épicerie du coin. Ca parle qu’ici y’a pas de travail à part dans l’agro-industrie, donc les commerces y tiennent pas
- les visites de notre actuelle maison ont repris, je comprends pas qu’elle soit pas encore partie elle est pourtant chouette !
- visite du jardin magnifique de Christelle : aucun produit chimique, biodiversité à fond… plein d’envies.
- plaisir de découvrir le mini marché de producteur chez le maraîcher bio de Lanvallay, notre future ville
- première balade en chariote à vélo pour le marcassin ! Et premiers légers coups de soleil pour moi
- je commence à flipper du peu de projets à venir dans les prochains mois